Une défaite, une victoire c’est le bilan factuel de l’équipe nationale du Niger dans cette course pour la qualification pour le Mondial-2022.
L’on ne va pas se leurrer, l’objectif ce n’est évidemment pas une qualification surtout au vue de cette poule mais cette course se devait d’être utiliser pour des projets à moyen et long terme. Le Niger après deux participations à la CAN peinent à trouver une génération capable ne serait-ce d’égaler la performance.
La présence du sélectionneur Cavalli est surtout dans le but de préparer un groupe capable de ramener le Niger dans le sommet du football africain et international.
Sur le plan résultat, avec une victoire et une défaite, nous ne chargerons pas le technicien car pour nous seule une dernière place avec zéro point pourrait faire vassiller son poste.
Au plan comptable, dans l’attaque les occasions de buts créees face au Burkina et les quatre buts marqués face au Djibouti demontre à tous que l’équipe est dotée de joueurs à l’aise techniquement. Au niveau defensif c’est aussi une multitude d’occasions concédés, aucun Cleansheets et surtout quatre buts encaissés.
L’efficacité de nos attaques se doit d’être accrue par une plus forte présence dans les phases offensives. Nous avons fait le constat que les joueurs à vocation defensive ne participent souvent pas à la création du surnombre.
L’équipe du Niger manque d’un avant-centre de métier. Haïnikoye semble toujours avoir du mal à intégrer les automatismes en équipe nationale. L équipe a grand besoin d’un pivot travailleur à l’avant qui saura faire les efforts.
Pour la défense, on peut dire que c’est une déception avec deux buts encaissés par match en moyenne l’on peut dire que Cavalli a intérêt à trouver un nouveau dispositif à l’arrière.
Sur le plan technique, le coach a pris des décisions qui pour beaucoup se sont révélées payantes en l’occurrence celle de faire le changement de système à la 43e minute de jeu. Mais par contre d’autres choix étaient completement manquées.
Dans les choix manqués nous pouvons citer:
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